LA DROITE, UN PARTI DÉVALORISÉ PAR CES CANDIDATS !
- Camille LG, Ophélie O
- 16 mars 2017
- 2 min de lecture
Les révélations sur certains candidats, de la droite, des présidentielles de 2017, ont fait polémique ces derniers temps avec l'affaire François Fillon et l'affaire Marine Le Pen. En effet ces affaires ont de quoi faire douter les électeurs avec l'arriver des présidentielles le 23 avril 2017 pour le premier tour et le 7 mai 2017 pour le second tour.
Voici un petit résumé pour les personnes qui n'ont pas tout suivis.
L'affaire Fillon:

Le 24 janvier 2017 : Le magazine «le canard enchaîné» affirme que pendant plusieurs années Pénélope Fillon (l'épouse de François Fillon) aurait bénéficié d'un emploi fictif en temps qu'attaché parlementaire de son mari.
Le 30 janvier 2017 : Une enquête est ouverte et une perquisition est effectuée au bureau de François Fillon.
Le 6 février 2017 : Lors d'une conférence de presse, en demandant le pardon au français, François Fillon annonce le maintient de sa candidature aux présidentielles 2017.
Le 1er mars : F. Fillon communique à la presse qu'il est convoqué par la justice en vu d'être mis en examen après avoir annulé sa visite à un salon de l'agriculture.
Le 5 mars : après les nombreuses pertes au sein de son équipe, il organise un
rassemblement pour mobiliser ces troupes à place Trocadero.
Le 14 mars 2017 : François Fillon est mis en examen pour détournement de fonds publics, complicité et abus de biens sociaux.
Dans cette affaire Pénélope Fillon a au total gagné 831 440 euros brut. François Fillon a aussi fait embaucher deux de ces enfants qui ont gagné 84 000 euros brut.
Il a fait engagé son fils et sa fille en ayant affirmé qu'ils étaient « avocats » alors qu'ils n'avaient pas encore eu leurs diplômes.
Suite à sa mise en examen, François Fillon souhaite quand même continuer de participer aux présidentielles 2017.
L'affaire Le Pen :
Cette affaire remonte à 2012, elle implique Marine Le Pen et certains membres du front national. En effet certains assistants parlementaires seraient rémunérés pour un emploi fictif au Parlement Européen .
Une grande partie des assistants parlementaires qui avaient un emploi fictif au sein du FN étaient les assistants de Marine Le Pen.
Cette histoire est ressortie en Mars 2015. Marine Le Pen était convoquée par la justice et elle a refusé de s'y rendre. Elle a affirmé que si elle se faisait convoquer de nouveau, elle refuserait, encore.
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